OS/ Rien ne sert de fuir

Tout allais bien dans ma vie. J’étais chanteur dans un groupe de pop japonaise que presque toutes les jeunes filles adulaient, les NewS. J’avais un super meilleur ami, une famille merveilleuse et j’avais un petit ami. Oui vous avez bien lu, j’aimais un homme. Il faisait partis du même groupe que moi. On vivait le parfait petit bonheur depuis plusieurs mois, enfin c’est-ce que je croyais. Un jour qu’il discutait avec un autre jeune chanteur, de la même agence que nous, j’entendis qu’il ne se servait de moi que pour assouvir ses désirs. Je ne voulais pas le croire. Non c’était pas possible. Ne m’a-t-il jamais aimé? Lui qui était si doux dans nos moments d’intimité. Je voulais en avoir le cœur net. Le soir même, je l’invita à mon appart, qui était presque devenus NOTRE appart. Je stressais, je ne tenais plus en place et faisais les cent pas dans le salon en l’attendant. Quand il arriva enfin, il essaya de m’embrasser comme à chaque fois mais je l’ais repoussé. J’en avais tellement envie malheureusement la colère m’en empêcha. Je lui ai alors posé cette question qui me chatouillait les lèvres toute la journée.
« Dis moi, qu’est-ce que je suis pour toi exactement ? Un jouet ? »
Il n’avait ni affirmé, ni contredit et parti sans un mot.
Au boulot, le voir danser, chanter, rire avec les autres sans un seul regard pour moi ça devenait trop insupportable. La tristesse et l’envie de rien m’envahissaient. La voix qui sortais de ma bouche était toute cassé et moche. J’en pouvais plus de cette situation. Je pris alors la décision d’ aller voir notre boss. Après maintes cris, pleurs et explications échangés, j’obtint le droit de faire une pause et je partis donc pour le beau pays qu’est la France. Seuls ma famille, mon boss et mon meilleur ami savait pourquoi et où je partais. Pour combien de temps ? Même moi je ne le savais pas.

Cela fait maintenant à peu prés 7 mois que je suis ici. Je suis allé chez une amie française qui parle couramment japonais dieu merci. Au début c’était dur, je ne sortais pas sans elle, je ne comprenais rien au français. Mais avec le temps cela à changé, je connais bien les bases, maintenant et cela m’a permis de travailler à mi-temps comme serveur dans un café. Le patron est vraiment cool et les français adorables avec moi. Mais ce sourire forcé que je leurs offrait cachait un manque et une tristesse que je n’arrivais pas à faire disparaître. Au contraire, elle grandissait de jour en jour. C’est vrai que la vie que j’ai en France est très belle. Travail le matin, plage l’aprèm, sortie avec mon amie, pas de stress, de manque de sommeil ni de courses acharnées pour éviter des groupies. Mais j’ai le mal du pays comme on dit. Le groupe, le chant, ma famille me manquaient. Et lui ? Pas une seule fois, malheureusement, il n’était sorti de ma tête ou mon cœur. Je viens tout juste de me décidé de rentrer au Japon.


Au Japon :

- Mais reprend toi mon grand ! ça fait 4 fois qu’on recommence ces pas. C’est facile pourtant. Aller encore une fois, tout le monde, 1, 2, 3,….Non mais c’est pas vrai !! Tu fais exprès ou quoi !!??

- Désolé Pi.

- Bon c’est pas si grave que ça. Aller les gars, ça ira pour aujourd’hui. Tous sous la douche !!!!

Tous les NewS restant au Japon entrèrent un part un dans leur loge. Ils prirent une douche et se changèrent rapidement pour rentrer plus vite chez eux pour une bonne soirée de repos bien méritée. Seul deux restaient dans la pièce. Les mouvements du premier se faisaient lent et sans énergie. Le deuxième le regardait intrigué en se demandant bien pourquoi son ami était dans cet état. Il en avait sa petite idée mais ne comprenait pas pourquoi cela le touché à ce point. Il se racla alors la gorge pour rompre le silence et s’approcha de lui. Il posa sa main sur l’épaule de son ami.

- Tu sais il…

- Tait toi ! Ne me parle pas de lui s’il te plais.

- C’est donc bien à cause de son départ que tu es comme ça.

- Je suis normal là.

- Non non. Je suis ton ami depuis un bon moment maintenant pour voir quand tu ne vas pas bien. Et la ça va pas. Tu es sans énergie, jamais concentré, toujours en retard. Tu te payes des cernes énormes. Et déjà que c’était rare avant, tu ne souris plus du tout. L’autre jour Shige m’a dit que tu étais arrivé un matin plus tôt pour te douché et que tu puais l’alcool. Ça suffit ! Il faut te ressaisir mon pote !

- Occupe toi de tes affaires ! Je t’ai rien demandé.

Il pris ses affaires et partis en claquant la porte derrière lui.

******

Quelques part dans le ciel Japonais:

Ha la la, je stresse. Je suis dans l’avion qui entame sa descente juste au dessus de Tokyo. Pendant tout ce long trajet, je n’ai fait que pensé à leurs réactions. J’en ai peur. Comment ont-ils pris mon départ soudain ? M’en veulent-ils de ne pas leur avoir donné de nouvelles ? Ho sûrement.

Plus que quelques mètres et je met enfin les pieds sur le sol japonais. Plus que quelques pas. Me voila enfin dans mon pays qui ma tant manqué.

- Tadaima !!

- Okaedi mon chéri.

- Maman !!!

Je lui saute dans les bras. Oui certains dirons que c’est la honte mais je l’aime tant. Elle a fait beaucoup pour moi et elle m’a tellement manqué. J’ai qu’une seule envie, c’est de rentrée à la maison. Prendre une bonne douche, un délicieux repas préparé avec amour et retrouver mon lit douillet.
Je range alors mes bagages dans le coffre de la voiture et embarque aux cotés de ma mère. Pendant le trajet elle n’arrête pas de me poser pleins de questions sur mon séjour en France et je lui répond avec plaisir. Je suis tellement concentré sur mon récit que je ne voit pas que le trajet vers la maison a drôlement changé. Juste au moment où j’allé lui demander pourquoi on passait par là, elle arrêta la voiture.

- Te voila arrivé mon fils.

- Hein !!??

En suivant son regard, je remarqua qu’ on se trouvait devant un bâtiment que je connais bien, celui de l’appart de Pi. Sûrement par ce que je tirais une drôle de tête ma mère se décida d’expliquer.

- Tu es parti sans leurs dire un mot. Tu leur as manqué tu sais ? Masuda-kun les a prévenus de ton retour et ils ont décidé de fêter ça. Vas y, Yuya, ils t’attendent. On se verra demain.

- Mais

- Il n’y a pas de « mais » qui tiennes ! Faut que tu assumes tes actes. La fuite ne résoudra pas tout. Allez ganbatte !

Et c’est avec un grand sourire, qu’elle parti en me laissant devant l’immeuble, mort de trouille. Je me retrouve au pied du mur (et dans les 2 sens), j’ai donc pas d’autre choix. C’est d’un doigt tremblant que j’appuis sur l’interphone de Yamapi.

- oui ?

- Ya…Yamapi c’est Tegoshi.

- Je t’ouvre, montes.

- Merci

Deux seconde après, j’entendis un bip, signe que la porte est débloquée. Je la pousse, me dirige vers l’ascenseur, l’appel et y pénètre. Quelques étages plus haut et après plusieurs pas me voila devant sa porte. J’ai peur. Je sursaute. Masuda vient d’ouvrir la porte et de me sauter dans les bras. Je me sens mieux. C’est pas mon meilleur ami pour rien. Il me murmure quelques mots d’encouragement et me tiens la main pendant qu’il accompagne vers les autres. Ils sont tous là, tous assis autour de la table du salon. Je me sens à nouveau mal.

- Tego !! Tu m’as manqué tu sais ? Viens dans les bras de tonton Koyama.

Il a vraiment le dons de détendre l’atmosphère celui la. Je l’adore. Je lui obéi alors et je me blottis dans ses bras. Avec un grand sourire, il pose sa main sur ma tête et ébouriffe mes cheveux.

- Tonton Koyama arrête te t’accaparer notre cher revenant.

- Soit pas jaloux, Tata Pi J

- Pourquoi c’est moi la tata !!?? Et puis d’abord j’suis pas jaloux !

- Mais oui mais oui.

- pff. Bon aller je vais chercher à boire pour qu’on commence enfin cette fête !

- wouaaiiii !!

Je me sépare de Keii-chan pour suivre Yamapi dans la cuisine.

- Yamapi, je..

- Écoute moi Tegoshi. Ce que tu as fait et comment tu l’a fait, c’était sûrement pas la meilleure chose à faire. Tu n’allais pas bien et tu as pensé que c’était le mieux pour toi. Peut être mais à tu pensé à nous ?

- Je suis désolé.

- Je veut pas que tu t’excuse. Je veux que tu assumes et nous affronte sans peur ! Nous sommes tes partenaires mais aussi tes amis. Non ?

- Si.

J’avais plus peur maintenant, j’avais honte. J’était là, face à Pi, la tête baissée et une larme commençait sa descente sur ma joue.

- Tegoshi.

Je sentis alors une main sous mon menton et il me releva la tête. Il m’offrit un magnifique sourire et un regard tellement doux.

- Ne t’inquiète pas, je t’en veux pas. Oui ça ma fait mal que tu nous quitte comme ça sans prévenir, ni rien mais j’ai réussi à le surmonter. Par contre il y en a un qui l’a mal vécu.

- Qui ?

- Ryo. Je ne sais pas pourquoi. Mais il était toujours déprimé. Il a manqué plusieurs jours et quand il était avec nous c’est comme s’il était ailleurs. Il a des cernes pas possibles. Il parlait plus, il ne souriait plus et ne sortait plus. Ha si, une fois et j’ai du aller le ramasser à la petite cuillère tellement c’était une larve. Il va falloir que tu lui parle.

- Non, je peux pas !

- Mais Tego..

- Je veux pas !

Et je partis à toute vitesse rejoindre les autres dans le salon. Massu et Koyama s’amusaient avec des ballons. Ce qui me fit sourire, toujours égal (égaux?) à eux même. Je parti alors auprès de Shige sur le canapé. Je n’avais pas parlé avec lui encore. Je me suis donc assis à ses côtés, pris mon courage à deux mains et commença la discussion.

- Comment tu vas Shige ?

- Très bien, merci. Et toi pas trop fatigué à cause du vol ?

- Non ça va c’était assez long mais j’ai réussi à bien dormir.

- Et tu étais où ?

- En France.

- En France ! Wouaaa super ! T’as vu la tour Effel, la cathédrale, l’arc de triomphe ?

- Calme toi XD Je n’étais pas à Paris, mais dans une petite ville au sud.

- Ha ok. Tu as réussi à apprendre le français ?

- C’était pas facile mais j’arrive à tenir une petite conversation maintenant.

- Cool, tu m’apprendra alors.

- Pas de problème, quand tu voudras.

Je suis content. Personne ne m’en veut. Enfin j’en sais rien pour Ryo mais je ne veux pas le savoir. Yamapi est revenu au salon avec des verres et plusieurs bouteilles de saké. La soirée bat son plein. L’alcool coule à flot. On s’ éclate la voix au karaoké de Yamapi. Ils seront pas content au boulo lundi. Tous le monde rit, s’amuse sauf un. Lui. Mais je veux pas aller le voir. Il m’a fait tellement de mal. Cette fête en mon honneur est vraiment super, je ne veux pas la gâcher. Un autre jour, j’irai le voir. Et puis pourquoi c’est pas lui qui viendrai me parler ?! Bon arrêtons d’y pensé. Et hop un autre verre de saké en plus ! Ça fait tellement de bien, ça me réchauffe le corps et le cœur. J’ai la tête qui commence à tourner.

- Tego, Tego !! Viens voir !!

- Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

- Là sur le balcon, il y a un truc trop drôle

- A bon ? Voyons. Mais il y a rien à part..

CLAC.

- Hey ! Non mais qu’est-ce que vous faites ?! Ouvrez moi cette fichue porte !! Keii-chan ! Yamapi !

- Désolé Tego mais vous nous laissez pas le choix. Vous êtes des têtes de mule. Alors maintenant vous ne sortirez pas de la tant que vous vous serez pas parlé !

- Bonne fin de soirée tous les deux. Dit, Koyachoux, et si on allait dans ma chambre ? Regarde, Shige est rentré et Massu dort comme un loire.

- Pas de problème tata.

- Arrête ça de suite ou tu vas le regretter !

- Et que vas-tu me faire ?

- Tu vas voir !
　
　
Sur le balcon:

«　Dés que je sors d’ici je les tues !! Qu’est-ce que je vais faire ? Tient! la vu de l’appartement de Yamapi est supra belle. Non mais à quoi je pense moi ?! Bon calmes toi mon p’tit Yuya. Analyse la situation. Non mais je deviens fou ou quoi !!? Pas besoin d’analyser la situation ! Il est là, je suis là, enfermés sur ce fichu balcon !　»
J’ai pas trouvé d’autre solution que de taper comme un malade sur la porte fenêtre en leur promettant ciel et terre s’il me libère. Mais rien ne marche. C’est sûrement du double vitrage même Massu ne se réveille pas. Rien à faire. Mes nerf lâchent. Je m’écroule au sol et un torrent de larmes inonde mes joues.
Hééé ??! Je sent deux bras passer autour de mes épaules et m’enlacer. J’essaie alors de me dégager avec succès.

- Non mais ça va pas ?!

- Non. Te voir pleurer me fait mal au cœur.

- Alors retournes toi !

- Yuya s’il te plais.

- Il n’y a pas de Yuya pour toi ! Et ne m’adresse plus la parole !

- Désolé mais il faut qu’on parle ! On est enfermé la jusqu’à qu’on s’explique. Alors faisons le tout de suite et on pourra aller dormir plus vite.

- mouais.

- Bien. Je commence.

- Si tu veux.

- Tu étais où pendant tous ce temps ? Pourquoi ne pas nous l’avoir dit ? Pourquoi tu es partis ?

- Tu rigoles la ?

- Non.

- Ha ha. A ton avis pourquoi je suis parti ? Ou plutôt à cause de qui ?!

- ….

- C’est de TA faute Ryo-chan ! TA faute ! C’est toi que j’ai entendu parler avec Matsumoto-san et qui disait que je n’était qu’un jouet.

- Tu as entendu ?

- C’est toi qui n’as pas répondu quand je t’ai posé la question. C’est toi qui ne me parlais plus depuis ce soir là ! Toi aussi qui riais avec tout le monde mais pas avec moi. Tu as brisé mon cœur ! Et comme si de rien n’était tu me demande pourquoi ?! Sal*up !!

J’en peu plus. Je suis trop en colère. Je le frappe encore et encore au niveau du torse. Il ne bouge même pas et ça m’énerve encore plus. Mais je suis à bout de force, tout l’alcool accumulé ne m’aide pas. C’est alors qu’il attrape mes mains et les garde dans les siennes.

- Écoutes moi s’il te plais.

-….

- En fait, un jour j’ai perdu un pari contre Matsumoto et comme gage je devais coucher avec toi. J’ai donc fait comme si j’étais amoureux. Notre relation avançais mais je ne t’avais toujours pas touché. Tu te souviens même toi ça t’inquiétais ? Je pouvais pas le faire. Je me sentais mal de te faire ça. Puis c’est arrivé et les semaines passaient. Ce jour là, où tu nous a entendu, il est venu me voir pour me dire que j’avais gagné, c’était bon je pouvais arrêter. Mais je ne voulais pas. Il m’a alors dit que je me servais de toi. Je lui ai expliqué que oui je jouais avec toi…mais qu’au début. Car très vite, je suis réellement tombé amoureux de toi Yuya. Je t’aime !!

- Alors pourquoi ne pas me l’avoir dit ?

- Quand tu m’as posé la question, je me suis senti nul et j’ai préféré partir. J’avais honte d’avoir accepté ce gage. Vraiment honte de moi. Et c’est pour cela que je n’osai pas venir te voir les jours suivant.

- …

- Puis Johnny-san est venu nous voir pour nous apprendre que pendant quelques temps tu ne faisait plus parti de NewS. Massu nous a dis, par la suite, que tu était parti très loin et qu’il n’avait le droit de rien dire. Je suis désolé, pardonne moi s’il te plais. Tout est de ma faute. Je regrette pas ce gage par ce que je me suis rapproché de toi et que je suis tombé amoureux d’un homme merveilleux. Mais je regrette d’avoir était lâche. Je t’aime tellement si tu savais.

Il pleure. J’en crois pas mes yeux. Jamais je ne l’ai vu verser ne serai-ce qu’une petite larme. Je suis touché. Je le prend alors dans mes bras et lui caresse les cheveux.

- Excuses acceptées. Tu n’es pas le seul à avoir fait preuve de lâcheté. On est quitte ?

Il se recule, m’offre le plus magnifique sourire qu’il est en réserve et affirme de la tête. Je lui rend son sourire. Nous sommes soudain très proche l’un de l’autre. Nos nez se touchent, je sens son souffle chaud sur mes lèvres. Deux secondes plus tard il les capturent. Je me sens comme sur un petit nuage. Je sens sa langue impatiente qui demande l’entrée. J’ouvre alors la bouche et nos langues se rencontre enfin depuis tellement de temps. Elles se sont manqué. Elles dansent sans relâche. Mes mains se balade dans ses cheveux. L’une des siennes est placée dans mon coup, l’autre cherche un passage sous mon t-shirt. A bout de souffle, nos bouches se relâchent. J’en profite pour lui retirer sa chemise. Mon t-shirt ne fait pas long feu non plus. Son cou m’appelle, il faut que je le dévore. Je reçois un millions de caresses en retour. De petits gémissements sifflent à mes oreilles. Voila qu’il m’embrasse tout le corps. La bouche, le cou, les tétons, le ventre, le nombril. Ses mains on déjà défait ma ceinture et mon pantalon se retrouve vite au sol. Ses lèvres continues sa descente ainsi que mon caleçon. Je me sent rougir. Il se recule et pose sur moi un regard rempli de désir. Je suis si excité. Mon corps n’a pas eu sa Ryodose depuis tellement longtemps.

- mmmm..haaaaa

Sa bouche vient de capturé mon sexe. Un long gémissement viens de franchir mes lèvres. J’ai l’impression de m’envoler. C’est si bon.

- Ryo…mmhm…je vais…

Venir. Trop tard. Tu avale ma semence comme si c’était un grand cru. Tu t’approches pour partager. A ton tour mon amour. Pendant qu’on s’embrasse à en perdre halène, je tante de retirer ton pantalon et pourquoi pas ton boxer par la même occasion. Mission accomplie. Te voila enfin nu sous mon regard chaud bouillant. Tu m’allonge au sol et me demande du regard si tu peux y aller. J’entoure mes jambes autour de tes hanches pour te faire comprendre que oui. Itai ! Une larme me chatouille la joue. Tu prend peur. Mon amour, t’es trop mignon. Continue !!!! Tu obéis. De long va et viens, doux puis profonds. Une si belle main s’égare sur mon sexe. Nos gémissements s’envolent dans le ciel de Tokyo à l’unissons. Un grand accoue et un liquide chaud se propage en moi. J’aime cette sensation. Tellement que je me déverse une nouvelle fois. Tu te retire et te couche à mes côté. Je sens que le marchant de sable est passé. Je doit te le dire avant.

- J'ai jamais réussi à t'oublier. Je t’aime Ryo-tan.


FIN


Voila une requette que l'on m'a faite. J'espère que ça vous à plu.
On m'a dit que le lemon était trop cru et ça ne se fait pas sur un balcon. Vous en pensez quoi ?
Par ce que moi je trouve pas donc je suis un peu perdu là.
　

Meuh non, un lemon se fait n'importe où ! Plus l'endroit est inédit, plus j'aime ^^ Ça apporte un peu de surprise ^^
J'ai beaucoup aimé ^^ Tu as un style très agréable à lire et sans trop de fautes, ce qui est également plaisant ^^

J'ai adoré tonton Koyama et tata Pi xD (Pourquoi c'est Pi la tata, je veux savoir aussi xD)
Au début, jusqu'à ce que tu utilises le prénom, je ne savais pas qui était celui dont tu parlais. Ça me frustrait, mais c'est bien mené ^^ J'avais envie de lire rien que pour savoir qui c'était xD Et puis après, on veut savoir les réactions des News, la réaction de Ryo et puis surtout LA scène quoi xD Qui est bien écrite, peut-être un peu courte à mon goût mais ça c'est parce que je ne suis qu'une perverse xD (Et j'assume xD)
Le point de vue interne que tu as utilisé est bien pensé ^^ Il apporte une dimension spéciale à l'histoire. On ne comprend que les actions et les pensées de Yuya, on ne sait rien de celles des autres. Ce qui laisse jusqu'au bout du suspense. Il faut attendre que Ryo s'explique pour que l'on comprenne ^^ Ça nous tient en haleine jusqu'à la fin ^^

Bien joué ! Ton Os m'a plu, j'espère en lire d'autres encore ! ^^

Wouaa tu n'imagine pas à quel point ton avis me fait plaisir et me redonne envie de continuer.
Merci beaucoup.

Pour les fautes, il faut remercier Shim'. C'est elle ma correctrice. Par ce que moi je suis la reine des fautes.

Pourquoi c'est Pi la tata ? hi hi hi...Par ce que koyama à dit en premier qu'il était le tonton? XD

Au dépard je voulais qu'on ne le sache qu'à la fin de qui je parlais. Mais j'ai pas réussi XD
J'y arriverai un jour !! xD

LOL moi aussi je le trouve trop court.
J'en ai écris deux autres si tu veux. Ils sont sur mon blog ou sur le forum fanfic yaoi (j'ai vu que tu y étais inscrite).

Merci encore.

*-*
J'ai vraiment trouvé cette OS hyper chouette *-*
Au début je ne savais pas qui parlais XD C'est frustrant comme sentiment xD
Non mais j'aime vraiment, c'est très bien écrit, ca se lit facilement^^
Trop cru?
XD
Gomen ne... demo... mouahahaha, je ne sais pas qui t'a dis ca mais je peut t'assurer que ton style n'est pas trop cru, en plus le fait que sa se passe sur un balcon est vraiment agréable*-* C'est pas un endroit commun, c'est cool *-*
Par contre un peu court comme lemon xD
Mais ca c'est juste parce que je suis une perverse xD
Merci pour ce OS *-*
Chuuuu<3

Oh merci beaucoup d'avoir lu mon OS et pour ton avis :)
Beaucoup de personnes m'ont dit que c'était trop cru et que le lemon sur le balcon ça se faissait pas sur mon blog. Tous les premiers commentaires c'était ça comme avis, alors j'étais plus trop sure de moi.
Oui le lemon est court mais c'était l'un de mes premiers alors pas trop forte pour cela encore.
De rien ;)

oO Maji?
Si ils veulent des truc guimauve qu'ils cherchent des fic sans lemon ><''
Non franchement, très bon lemon (trop court =p mais je l'ai déjà dis), vraiment, vraiment!
Et je l'ai déjà dit aussi mais que ca se passe sur un blacon c'est... *ç* Haaaaaan, ca éveille les fantasme.

Personnellement... les lemon m'ennui en ce moment, trop tous pareil =/
Tu as un blog?
Tu sais me l'envoyer? *-*
Onegaiiiii <3

Et oui c'est vrai. En plus il n'y avait pas que des jeunes qui peuvent étre encore un peu prude.
Mais bon, je trouve mon idée bien :)
Merci beaucoup.

Je te comprend pour les lemon, je suis un peu pareil en ce moment. Rare son les fois où on trouve des lemon qui sortent de l'ordinaire dans le lieu, la minière ou tout simplement la façon de l'écrire.

Héhé ^^'' mes lemon ne sorte pas vraiment de l'ordinaire non plus =p

lol c'est pas très grave. Je t'es laissé un commentaire sur ton blog pour que tu ai l'adresse du mien (au cas ou tu n'aurai pas vu)

Si si j'ai vu ^^
Merciiii <3