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 USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times

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Kitten

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MessageSujet: USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times   USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times Icon_minitimeMar 13 Mar - 1:10

Bon.. J'ai pas tout lu parce que voilà... xD

Citation :

USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times SuperJunior1

Le célèbre journal New York Times a publié un article sur les secrets de la popularité de la K-pop dans le monde.

En effet, le 5 mars le journal new-yorkais se penchait sur le phénomène de la pop-coréenne sous le titre de « Bringing K-pop To The West » en parlant comment la K-pop s’est propagée à travers le monde. Soompi France vous propose dans sa quasi-intégralité les explications du journal.

« La K-pop est un brise-glace pour les étrangers », a déclaré Tara Louise, 19 ans, une chanteuse de Los Angeles auditionnée et sélectionnée lors du K-Pop World Festival qui s’est déroulé à Changwon en décembre dernier. Elle ajoute : « On accorde beaucoup d’affinité envers les célébrités coréennes et la culture coréenne. »

« Pour les Sud-Coréens, ce festival fut le premier de son genre,
confirmant la propagation de la K-pop dans le monde qui s’est propagé
d’abord vers l’Asie et plus récemment vers l’Europe, le Moyen-Orient et
les deux Amériques (Nord/Sud) avec pour outil principal la large
utilisation des médias sociaux »
explique le journal.

USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times 2NE1

Dans l’article, il explique aussi : « Quand les 2NE1, Super
Junior et SHINee font des concerts en Europe et aux Etats-Unis, les
tickets se vendent en quelques minutes et les fans s’organisent, à
travers Twitter et Facebook, pour faire des flashmob pour en demander
encore plus comme ça était le cas à Paris en mai [2011]».


La K-pop fait partie d’une tendance plus générale connue sous le nom « vague coréenne » et appelé « Hallyu » en coréen. Les Taïwanais ont été parmi les premiers à remarquer l’invasion des feuilletons coréens dans leur programmation de télévision dès les années 1990 et
a donné au phénomène son nom. Jusque-là, le terme a fait allusion aux
vents froids qui soufflent vers le bas de la péninsule coréenne.

La vague coréenne a longtemps conquis l‘Asie, mais
avant la prolifération des réseaux sociaux mondiaux, les tentatives des
stars de la K-pop à pénétrer les marchés occidentaux, y compris les
États-Unis, avaient largement échoué.

Mais maintenant avec l’avènement de YouTube, Facebook et Twitter, cela rend plus facile l’insertion de laK-pop pour
atteindre un public plus large en Occident, et les fans se tournent
vers les mêmes outils que sont les réseaux sociaux pour proclamer leur
dévouement.

USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times T-ARA

Les représentations de la pop-coréenne comme celle de T-ARA « Roly-Poly, Wonder Girls « Nobody » et Super Junior « Sorry
Sorry » ont des refrains addictifs souvent entrecoupées d’anglais et
des pas de dance synchronisés qui sont devenus un vrai engouement en
Asie, de l’école primaire chez les enfants aux soldats dans les casernes
militaires et même des détenues dans les cours de prisons imitant ces
mêmes danses.

Le succès naissant de la K-pop en occident découle des enseignements
tirés de l’industrie musicale coréenne concernant son marché local.

La Corée devient donc l’un des pays les plus branchés du monde, etla piraterie numérique a dévasté sa scène musicale, les ventes d’albums ont chuté de 70,7% entre 2000 et 2007 selon la très sérieuse association de l’industrie musicale, la IFPI(International Federation of the Phonographic Industry).

Ainsi les agences coréennes se sont consacrées beaucoup plus au
numérique et aux tournées. Comme l’utilisation des réseaux sociaux s’est
répandue partout dans les dernières années, les groupes de K-pop ont
commencé à obtenir plus d’intérêt de la part de l’Ouest.

« Merci à Twitter, Facebook et YouTube,Jay Parkn’est pas seulement un artiste mais aussi son propre agent de relations publiques, président de son fanclub et réseau TV »,a déclaré Bernie Cho, président de DFSB Kollective, un distributeur de musique numérique et d’image de marque basée à Séoul qui s’occupe aussi de la musique de M. Park.« Il
a court-circuité les sentinelles des médias traditionnels au niveau
local et depuis fait son propre chemin au niveau mondial sur les charts
musicaux étrangers via les médias sociaux. »


Les médias sociaux ont aussi un facteur « coup de chance » pour ces
groupes a déclaré Marine Vidal, journaliste et musicienne française, qui
aime tellement la culture pop-coréenne qu’elle a déménagé à Séoul l’année dernière.

L’article indique également qu’outre les médias sociaux, la puissance
du genre se fait également à travers des paroles qui sont faciles à
mémoriser ainsi que le travail acharné et talent des membres des
différents groupes, en citant en exemple les Nines Muses.

Malgré les tentatives passées pour mettre l’accent sur le sex-appeal de stars de Kpop comme BoA et Rain, l’expérience a tourné
court aux Etats-Unis. Les sociétés de divertissement coréennes ont
aussi appris de leurs erreurs sur le marché musical en étant plus
réceptif également pour conquérir un nouveau public à l’étranger - les pré(et)adolescents.

USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times Wonder-girls-teennick

Cette année, par exemple, les Wonder Girls ont fait un téléfilm américain pour la chaîne câblée TeenNick.
Les Wonder Girls, comme les autres groupes de filles sont sportives et
sexy, mais leurs tenues ainsi que les paroles des chansons restent bien
largement confinés aux limites de l’amour romantique, chaste et
nostalgique.

Le New York Times rapporte que
les entraînements sont intensifs en passant par un programme spécifique
de formation où les filles s’entrainent de 10 à 12h par jours, sept
jours sur sept lors des dernières années d’apprentissages. « Elles
s’entrainent durement à la synchronisation de leurs chorégraphies afin
de pouvoir performer d’une manière très précise, qu’on peut retrouver
dans la marche de l’oie militaire Nord-Coréenne mais avec un sentiment
contagieux de bonheur ».


Morgan Rey travaille avec des labels coréens depuis 2007 et elle une consultante spécialiste de la musique. Elle affirme que la K-pop n’a pas encore fait une impression durable sur de nombreux américains : « Pas
tout le monde est convaincu que la K-pop à l’endurance suffisance pour
s’imposer aux Etats-Unis. Les apparitions sur Mr. Letterman’s show ou le
chart Billboard K-pop ont très peu d’importance ici. ».


M. Carey a contribué à propulser un artiste coréen reggae, Skull, en l’imposant No.3 sur le chart R&B Singles en 2007 en
restant loin des évènements à thèmes asiatiques et d’essayer de
construire sa base de fans à partir des racines du genre musical, avant
que le chanteur ne quitte les Etats-Unis afin d’accomplir son service militaire obligatoire en Corée. M. Carey a déclaré que les labels de la musique coréenne « ignorent les réalités du marché américain. »

USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times Rain-ninja-assassin

Il a également commenté : « Le chemin de la culture pro-américaine passe aussi par la mode et le cinéma ». Même
s’il avoue que certains labels ont des étiquettes plus intelligentes
sur le marché des États-Unis. Il a salué le travail de Rain (Bi) qui, selon lui, a ajouté un coté plus incisif à son image publique en étant la vedette du film hollywoodien « Ninja Assassin » et « Speed Racer» ainsi que les Wonder Girls avec TeenNick comme des brillants exemples pour soutenir sa théorie.

Pourtant, même tout en étant avertis des aléas d’une carrière et des
limites des médias sociaux et du marketing, il reste encore des valeurs –
le travail acharné et le talent ont
encore de l’importance. Le journal explique qu’en Corée du Sud, les
compagnies « Star-management » sélectionnent et forment des adolescentes
et chanteuses en herbe et les logent ensemble dans un dortoir.

Avec le marché international à l’esprit, les agences ont besoin de
stagiaires apprenant une langue étrangère, et elles n’hésitent pas à
embaucher des compositeurs et les stylistes étrangers.

USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times Nine-Muses-pochette-album-Sweet-Rendez-vous

« C’est manufacturé avec une planification minutieuse », a déclaré Lee Hark-joon, un directeur de l’équipe multimédia du journal sud-coréen Chosun Ilbo, qui a suivi le groupe de filles Nine Muses pendant un an pour faire un documentaire sur la conception d’un groupe de K-pop. « Elles s’entraînent comme des androïdes, interdites de rencontre au cours de leur période de formation. »

Le journal souligne aussi : « La concurrence féroce entre les
membres du groupe, car ils/elles peuvent être remplacées si cela ne
fonctionne pas correctement. Il y a aussi une forte envie entre-elles
d’être la leader pour être à la tête de la formation lors des
prestations. »
Pendant la formation ou même dans une carrière déjà
lancée, si un(e) membre est à la traîne ou abandonne, un remplacement
est effectué. Individuellement les membres d’un groupe développent leurs
propres spécialités, certain(e)s mettent en lumière leur beauté
d’adolescent(e)s et d’autres leurs talents de danse, ils/elles ont leurs
propres clubs de fans. Mais elles restent farouchement en concurrence
pour devenir la future «leader», qui dansera à la tête de la formation
et représentera donc son groupe.

Pour Moon HyunA et ses autres collègues de Nine Muses, gérées par Star Empire Entertainment à
Séoul, la formation et l’entrainement commençaient à 13 heures précise
chaque jour. Les demoiselles donnaient toutes leurs forces à l’écoute de
la musique qui résonnait comme un tambour dans leurs oreilles de 10 à 12h par jour, 7 jours par semaine et cela pendant 4 ans avant que le groupe ne fasse ses débuts officiels en 2010.

Moon HyunA, 24 ans, continue: « C’est entrainement, entrainement et toujours plus d’entrainement », elle qui a travaillé comme une modèle et chanteuse avant de rejoindre le groupe.

Une envie de devenir une puissance mondiale exportatrice, le pays a
toujours eu un sentiment irrité concernant ses limites d’exportations
culturelles, maintenant il prouve au monde occidental qu’il est plus
qu’un fabricant de voitures Hyundai et de téléphones cellulaires Samsung.

Andrew Kang, un des directeurs de Star Empire conclu ce long article en déclarant : « La K-pop est devenue la touche coréenne qui tue ».

Source : New York Times


USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times BigBang

Parenthèse Soompi France :

Les plus optimistes pensent que seule la K-pop peut bousculer l’hégémonie américaine dans l’Entertainment mondial. En effet, c’est la seule musique non-standardisé (UK, US)
qui arrive à se propager naturellement dans le monde entier sans
distinctions de couleurs, de religion et de barrière linguistique alors
que l’anglais est l’atout majeur, voir indispensable pour se faire
connaitre mondialement.

La K-pop devra-t-elle changer ce qui fait son charme (sa langue) pour
séduire le monde occidental ? Les fans de la première heure vous diront
assurément que non, ça serait un sacrilège. Certains personnes diront
que cela peut-être un mal pour un bien ne serait-ce pour bien faire
figurer un ou deux albums au niveau planétaire et faire bien connaitre
le groupe tout en gardant des activités musicales coréennes et
japonaises.

Rassurons-nous cela ne veut pas forcément dire qu’un groupe produira
que des titres en anglais, ça serait purement suicidaire car le
principal marché de la pop-coréenne est l’Asie où l’on préfère largement
écouter ces même artistes K-pop chantant en coréen, en japonais ou
encore en chinois lors des tournées.

USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times PopCorn-Allemagne-590x408

Certains analystes, spécialistes ou même médias internationaux
n’hésitent pas à employer des termes forts en parlant d’une future « guerre culturelle » dans le domaine de la musique, du cinéma et des séries à l’eau de rose entre les US et la Corée.

Beaucoup de gens observent la musique coréenne en tant que le
meilleur genre alternatif à l’hégémonie américaine, grâce à sa
propagation globale. On pourrait rajouter un autre pavé que ce qui
« marche » et qui n’est pas local suscite toujours l’envie, la jalousie
et parfois le dénigrement extrême alors que pour la question
américaine le problème se pose très peu. Peut-être car elle se retrouve
dans une position un peu plus légitime sur certains genres musicaux et
aussi considéré comme le berceau de beaucoup de style. Mais la Corée
avec la K-pop n’a t-elle pas créée son propre genre ?

Certains pays voisins se plaignent également que leurs propres marchés musicaux commencent a être étouffé par la K-pop (Thaïlande, Japon, Taiwan, etc)
et que ça irait bien mieux sans cette « mode » car selon eux, elle
empêche ou met en difficulté l’épanouissement et création artistique
locale, surtout en Asie. La question ne se posait pas quand ces mêmes
pays étaient et sont submergés par la musique anglophone mais peut-être
parce que tout simplement elle s’est faite étape par étape en
quelques décennie, alors que la K-pop arrive très rapidement en imposant
son genre en une seule décennie en Asie.

Pour avoir un début de réponse, il faudra encore attendre une
décennie pour voir si le genre crée par la musique coréenne est durable
mais on peut déjà se poser la question si cette ascension n’est-elle pas
trop rapide pour éviter ce genre de problème…

D’autres fans plus optimistes se mettent déjà à rêver que si la K-pop
fait vaciller la puissance et la suprématie musicale et culturelle
américaine*, ne serait-ce que d’un demi-mètre, cela serait déjà un
exploit et une fierté immense venant de ce petit pays de 100 000km2 (2 fois la région Rhône-Alpes) appelé Corée du Sud.

*Le journal n’a pas mentionné les succès aux MTV EMA et IGGY des BIGBANG et 2NE1 ainsi que d’autres évènments significatifs.

Que pensez-vous de l’article du NYT ?



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Bunny
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USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times Empty
MessageSujet: Re: USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times   USA : Le succès mondial de la K-pop par le New York Times Icon_minitimeMer 14 Mar - 2:14

J'ai pas tout lu non plus mais si les groupes KPOP veulent vraiment être célèbres ils devraient songer à être moins racistes aussi -___-
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http://johnny-temple.skyrock.com
 
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